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Un point important de consensus concernait l'application de politiques non marchandes, notamment les contrôles à l'exportation, aux chaînes d'approvisionnement en minéraux critiques.

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Le président ukrainien Zelensky : Il se rendra en Italie mardi

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Compte rendu des échanges du Premier ministre britannique avec ses homologues français, allemand et les partenaires européens : progrès positifs constatés concernant l’utilisation des avoirs souverains russes immobilisés pour soutenir la reconstruction de l’Ukraine

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La Réserve fédérale de New York accepte 1,703 milliard de dollars sur les 1,703 milliard de dollars soumis à son mécanisme de prise en pension inversée le 8 décembre

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Le président ukrainien Zelensky annonce qu'une réunion de la coalition des pays volontaires aura lieu cette semaine.

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          Différence entre le Nasdaq et le Dow Jones : Perspectives de marché 2025 pour les investisseurs

          Eva Chen

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          Résumé:

          Différence entre le Nasdaq et le Dow Jones expliquée aux investisseurs en 2025. Comparez les performances, la volatilité et les opportunités d'investissement cette année.

          Différence entre le Nasdaq et le Dow Jones : ce que les investisseurs devraient savoir en 2025

          La différence entre le Nasdaq et le Dow Jones est essentielle pour les investisseurs souhaitant comprendre le marché boursier américain. Les deux indices suivent la performance du marché, mais représentent des secteurs différents. Le Dow Jones regroupe 30 entreprises de premier ordre reflétant la stabilité économique, tandis que le Nasdaq regroupe plus de 3 000 entreprises technologiques, moteurs d'innovation et de croissance. En 2025, comprendre les différences entre ces indices permettra aux investisseurs de prendre des décisions plus éclairées et d'équilibrer leurs portefeuilles dans un contexte financier en constante évolution.

          Partie 1 : Principales différences entre le Dow Jones et le Nasdaq

          Pour mieux comprendre la différence entre le Nasdaq et le Dow Jones, le tableau ci-dessous met en évidence leurs principales caractéristiques, notamment la taille de l’indice, les méthodes de pondération, la concentration sectorielle et les types d’investisseurs que chacun attire généralement.

          FonctionnalitéDow Jones (DJIA)Nasdaq Composite
          Nombre d'entreprises303000+
          Méthode de pondérationPondéré par les prixPondérée en fonction de la capitalisation boursière
          Focus sectorielIndustrie, FinanceTechnologie, croissance
          VolatilitéInférieurPlus haut
          CompositionValeur sûreTechnologie lourde
          Convient pourInvestisseurs conservateursInvestisseurs en croissance/technologie

          Partie 2 : Qu'est-ce que le Dow Jones Industrial Average (DJIA) ?

          Le Dow Jones Industrial Average (DJIA), ou Dow, est l'un des indices boursiers les plus anciens et les plus reconnus au monde. Créé en 1896 par Charles Dow et Edward Jones, il suit les performances des grandes entreprises américaines, reflet de l'économie nationale et du sentiment des investisseurs.

          1. Les entreprises de premier ordre, symbole de stabilité

          Contrairement au Nasdaq Composite, qui regroupe des milliers d'entreprises axées sur la croissance, le Dow Jones se concentre sur 30 sociétés de premier ordre, telles qu'Apple, Coca-Cola et Goldman Sachs. Ces leaders du secteur sont réputés pour leur stabilité et la stabilité de leurs bénéfices, ce qui fait de l'indice un symbole de la solidité traditionnelle du marché.

          2. Une formule unique de pondération des prix

          Ce qui distingue le Dow Jones, c'est son calcul pondéré par le cours : les actions les plus chères ont une plus grande influence sur les fluctuations de l'indice, quelle que soit la taille de l'entreprise. Ce calcul contraste avec la pondération par la capitalisation boursière du Nasdaq, où les grandes entreprises ont un impact plus important.

          3. Un indicateur conservateur pour les investisseurs

          De par sa structure, le Dow Jones est généralement moins volatil, ce qui en fait un indicateur fiable de la confiance du marché. Les investisseurs le considèrent souvent comme le reflet de secteurs établis comme la finance, l'industrie manufacturière et l'énergie.

          4. À retenir : Stabilité vs. Innovation

          Comprendre ce contexte clarifie la différence entre le Dow Jones et le Nasdaq : le Dow reflète la force des entreprises établies, tandis que le Nasdaq capture l’innovation et la croissance tirée par la technologie.

          En bref : le Dow Jones représente la stabilité — un indicateur stable de la confiance traditionnelle du marché en 2025.

          Partie 3 : Qu'est-ce que l'indice composite Nasdaq ?

          L'indice Nasdaq Composite représente le côté innovant et dynamique du marché boursier américain. Lancé en 1971 en tant que première bourse électronique au monde, il est devenu le centre d'attraction des entreprises technologiques et de croissance qui ont façonné l'ère numérique. Aujourd'hui, il suit plus de 3 000 actions dans des secteurs tels que la technologie, la biotechnologie, les communications et les services aux consommateurs.

          1. Pondéré en fonction de la capitalisation boursière et fortement axé sur la technologie

          Contrairement au Dow Jones, pondéré par les cours, le Nasdaq est pondéré par la capitalisation boursière, ce qui signifie que les grandes entreprises comme Apple, Microsoft et Nvidia ont une plus grande influence sur ses mouvements. Cette structure rend le Nasdaq plus sensible aux fluctuations des secteurs à forte croissance, ce qui entraîne souvent des fluctuations plus marquées que celles du Dow.

          2. Symbole d'innovation et de dynamisme du marché

          Le Nasdaq est devenu un indicateur clé de la performance technologique et de l'appétence au risque des investisseurs. Lorsque la technologie et l'innovation prospèrent, le Nasdaq a tendance à surperformer les indices traditionnels. En revanche, en période de ralentissement économique, sa volatilité peut fortement augmenter. Comprendre la différence entre le Nasdaq et le Dow Jones permet aux investisseurs de comprendre pourquoi l'un reflète le potentiel de croissance tandis que l'autre témoigne de la stabilité du marché.

          3. À retenir : Le pouls des marchés modernes

          Le Nasdaq Composite incarne l'innovation et l'investissement tourné vers l'avenir, où la technologie et la créativité génèrent des rendements à long terme. Pour 2025, allier la croissance du Nasdaq à la stabilité du Dow Jones offre un parcours équilibré aux investisseurs qui évoluent sur un marché mondial en pleine évolution.

          Partie 4 : Dow Jones vs Nasdaq : Perspectives d'investissement et performance 2025

          1. Performance du marché en 2025

          En 2025, le Dow Jones et le Nasdaq continuent d’évoluer dans des directions différentes, reflétant leur orientation de marché contrastée.

          Le Dow Jones est resté stable, soutenu par de bons résultats dans les secteurs bancaire, énergétique et des biens de consommation.

          Dans le même temps, le Nasdaq Composite a affiché une volatilité plus élevée, tirée par les développements rapides de l’IA, des semi-conducteurs et du cloud computing.

          Comprendre la différence entre le Nasdaq et le Dow Jones aide les investisseurs à comprendre pourquoi l’un réagit à la stabilité macroéconomique tandis que l’autre suit la croissance tirée par l’innovation.

          Principales différences entre le Nasdaq et le Dow Jones

          • Le Dow Jones profite des secteurs traditionnels et de la stabilité des bénéfices.
          • Le Nasdaq réagit à la technologie et à la dynamique de croissance.
          • Les performances 2025 mettent en évidence deux facettes complémentaires du marché américain.

          2. Quel indice est le meilleur pour les investisseurs ?

          Lorsque l'on compare le Dow Jones et le Nasdaq , il n'existe pas de « meilleur » choix universel : cela dépend de vos objectifs et de votre appétence au risque.

          Le Dow Jones convient aux investisseurs conservateurs à la recherche de rendements et de dividendes constants.

          Le Nasdaq convient à ceux qui visent une croissance à long terme plus élevée avec une volatilité à court terme plus importante.

          En 2025, de nombreux investisseurs préfèrent combiner les deux indices pour équilibrer le risque et le rendement.

          Points clés:

          • Dow = stabilité et revenus de dividendes.
          • Nasdaq = innovation et potentiel de croissance plus élevé.
          • Le mélange des deux indices permet de créer un portefeuille bien diversifié.

          3. Comment investir dans le Dow Jones et le Nasdaq

          Les investisseurs peuvent facilement accéder aux deux indices via des ETF et des fonds indiciels :

          SPDR Dow Jones Industrial Average ETF (DIA) — suit le Dow Jones.

          Invesco QQQ Trust (QQQ) — suit le Nasdaq-100.

          Ces fonds offrent une exposition simple et économique aux marchés traditionnels et technologiques. Pour tout investissement en 2025, surveillez les taux d'intérêt, l'inflation et les tendances du secteur technologique, car ces éléments restent les principaux moteurs des deux indices.

          Conseils d’investissement :

          • Utilisez FastBull pour suivre les performances des indices et les données macroéconomiques en temps réel.
          • Combinez DIA (exposition au Dow) et QQQ (exposition au Nasdaq) pour la diversification.
          • Suivez les indicateurs macroéconomiques et les signaux technologiques pour connaître le moment de l’entrée.

          FAQ sur la différence entre le Dow Jones et le Nasdaq

          1. Quel est le meilleur, le SP 500 ou le Nasdaq ?

          Le SP 500 suit 500 grandes entreprises américaines, témoignant d'une forte dynamique de marché, tandis que le Nasdaq se concentre sur les leaders de la technologie et de l'innovation comme Apple et Nvidia. La principale différence entre le Dow Jones, le SP 500 et le Nasdaq réside dans leur concentration : le Dow Jones suit la stabilité des valeurs vedettes, le SP 500 une large exposition et le Nasdaq les secteurs à forte croissance.

          2. Nvidia fait-elle partie du Dow Jones ?

          Non, Nvidia (NVDA) n'est pas incluse dans le Dow Jones Industrial Average. Elle est cotée au Nasdaq, où sa capitalisation boursière et son leadership en IA lui confèrent une influence majeure. Cela illustre la différence entre le Nasdaq et le Dow Jones : le Dow couvre les secteurs traditionnels, tandis que le Nasdaq met en avant l'innovation technologique.

          3. Apple est-il un Dow ou un Nasdaq ?

          Apple (AAPL) fait partie des deux catégories : cotée au Nasdaq, elle est également l'une des 30 composantes du Dow Jones. Ce double rôle illustre la différence entre le Dow Jones et le Nasdaq : l'un représente la stabilité économique à long terme, l'autre la technologie à forte croissance. Avec le SP 500, ils définissent la différence entre le Dow Jones SP 500 et le Nasdaq en termes de couverture et d'orientation du marché.

          Avertissements sur les risques et avertissements en matière d'investissement
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          L'augmentation de la dette de l'Arabie saoudite renforce sa dépendance aux financements internationaux.

          Samantha Luan

          Économique

          Forex

          Politique

          La pénurie croissante de liquidités dans le système financier du Royaume d'Arabie saoudite suscite depuis un certain temps un vif débat. La croissance économique et les exigences financières des mégaprojets en cours absorbent les liquidités plus vite que le système national ne peut en fournir. À titre de comparaison, des rapports récents suggèrent que la construction de la nouvelle ville de NEOM pourrait coûter 8 800 milliards de dollars, soit environ 25 fois le budget annuel de l'Arabie saoudite.

          Jusqu'à récemment, le secteur des affaires saoudien parvenait à satisfaire ses besoins financiers en levant des fonds localement, généralement par le biais de prêts bancaires ou par l'émission de sukuks auprès de la solide base d'investisseurs nationaux (souvent des banques privées gérant le patrimoine de particuliers fortunés). Cependant, le système est devenu trop tendu. La croissance du crédit a dépassé celle des dépôts pendant plusieurs années, tandis que les investisseurs locaux qui achètent des actifs financiers doivent retirer de l'argent de leurs comptes bancaires pour le faire. Autrement dit, les investissements financiers entraînent une réduction du financement des dépôts bancaires, car le financement local est cannibalisé.

          De plus, les réductions délibérées de la production pétrolière et la baisse des prix du pétrole ont réduit les recettes pétrolières de 857 milliards de riyals saoudiens en 2022 à 608 milliards de riyals saoudiens prévus en 2025, contribuant à un basculement du budget national d'un excédent de 2,2 % du PIB à un déficit prévu de 4 % sur la période (selon les chiffres du FMI). La tentative délibérée de diversifier ses activités au-delà du pétrole a donc un coût budgétaire, du moins pour l'instant, ce qui signifie que le pays doit attirer davantage de financements extérieurs.

          Si la liquidité nationale est compromise, la démarche logique pour un pays bien noté est de rechercher des financements à l'étranger, ce qui est précisément ce qui s'est produit. La dette internationale émise par l'Arabie saoudite et ses grandes banques et entreprises a fortement augmenté ces dernières années. Les émissions souveraines et quasi-souveraines de l'Arabie saoudite représentent désormais 5,1 % de l'indice obligataire souverain des marchés émergents le plus utilisé (JPM EMBI), ce qui en fait désormais le principal émetteur de cet indice. Ses obligations d'entreprises représentent désormais 4,3 % de la version corporate de cet indice (JPM CEMBI), dont elle est devenue le quatrième composant. Cela représente un changement spectaculaire dans sa présence sur les marchés internationaux.

          Un coup d'œil aux bilans du secteur financier montre que le besoin de financement international est structurel – il est là pour durer. Les prêts bancaires globaux ont augmenté à un taux de croissance annuel composé (TCAC) de 14 % depuis 2019, tandis que les dépôts n'ont progressé que de 8 % sur la même période. En termes de trésorerie, les prêts ont doublé, passant de 1 500 milliards de riyals saoudiens en 2019 à 3 000 milliards de riyals saoudiens fin 2024, tandis que les dépôts ont augmenté beaucoup moins, passant de 1 800 milliards de riyals saoudiens à 2 700 milliards de riyals saoudiens. En 2019, le système financier disposait donc de dépôts largement suffisants pour financer les besoins de crédit de l'économie ; en 2024, ce n'est manifestement plus le cas. De fait, le ratio prêts/dépôts du système a diminué, passant de 86 % à 110 % au cours de la période. La conclusion est simple : les banques dépendent désormais du financement de gros pour maintenir le rythme actuel de croissance du crédit.

          Source : SAMA

          On peut constater l'ampleur de l'évolution des émissions d'obligations internationales, qui ont explosé ces dernières années. En 2023, les banques saoudiennes ont émis 2 milliards de dollars d'obligations, soit environ 6 % du total des émissions du complexe saoudien. En 2024, ce montant est passé à 6,8 milliards de dollars (14 % du total), tandis que depuis le début de l'année, les banques ont déjà émis 14,9 milliards de dollars d'obligations, soit 27,4 % de l'ensemble des émissions saoudiennes. Et les banques ne sont pas les seules à émettre davantage de dette à l'international. Les besoins de financement de l'Arabie saoudite l'obligent à émettre par l'intermédiaire de tous les véhicules à sa disposition, y compris Aramco, riche en liquidités, et son fonds souverain (PIF). Le total des émissions de dette saoudienne a explosé, passant de 36 milliards de dollars en 2023, soit environ 3 milliards de dollars par mois, à 54 milliards de dollars depuis le début de l'année, soit environ 6,4 milliards de dollars par mois.

          Source : Bloomberg

          La direction que tout cela prend est très claire : le complexe saoudien accroît structurellement sa dépendance aux marchés internationaux de la dette. Les banques absorbent une part toujours plus importante des émissions saoudiennes, ce qui semble également être une tendance persistante. L'Arabie saoudite dépend donc de plus en plus des investissements internationaux pour financer ses priorités nationales, tandis que l'abondance de l'offre et la prédominance d'investisseurs étrangers plus sensibles aux prix au sein de sa base d'investisseurs signifient que les obligations saoudiennes pourraient avoir du mal à performer pendant un certain temps. Nous avons écrit précédemment que les caractéristiques techniques du marché des sukuk garantissaient généralement des spreads serrés et une solide performance (voir ici ). Les temps changent ; ce modèle n'est plus d'actualité.

          Source : Zero Hedge

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          La confiance des investisseurs allemands s'améliore grâce aux espoirs de relance budgétaire

          Michelle

          Économique

          Forex

          L'optimisme des investisseurs concernant l'économie allemande s'est amélioré en septembre, reflétant l'espoir qu'une relance budgétaire massive sortira le pays de son malaise.

          L'indice des attentes de l'institut ZEW est passé de 37,3 le mois précédent à 39,3. Les analystes interrogés par Bloomberg tablaient sur une hausse à 41,1. L'indicateur de la situation actuelle s'est détérioré de manière inattendue.

          « Les experts espèrent toujours une reprise à moyen terme », a déclaré Achim Wambach, président du ZEW, dans un communiqué. « Malgré les incertitudes mondiales persistantes et le manque de clarté quant à la mise en œuvre du programme d'investissement de l'État, l'indicateur ZEW enregistre une légère hausse en octobre. »

          Les prévisions de reprise de la croissance l'an prochain, grâce à des milliards d'euros de dépenses d'infrastructures et de défense, s'accompagnent d'avertissements : une véritable reprise ne sera possible qu'en renforçant la compétitivité. Si le gouvernement a présenté des plans pour alléger les obstacles bureaucratiques, il reste bloqué sur d'autres réformes.

          Les entreprises sont en difficulté. Les constructeurs automobiles, dont Porsche AG et BMW AG, touchés par la faiblesse des ventes en Chine et les droits de douane américains, ont revu à la baisse leurs prévisions d'activité pour cette année, tandis que les équipementiers comme Robert Bosch GmbH se préparent à supprimer des milliers d'emplois.

          Les données récentes reflètent leurs difficultés : les exportations ont chuté pour le deuxième mois consécutif en août, la valeur des expéditions vers les États-Unis ayant atteint son plus bas niveau en près de quatre ans. Les commandes industrielles, quant à elles, ont chuté pour le quatrième mois consécutif et la production industrielle a enregistré sa plus forte baisse depuis début 2022.

          Un tel pessimisme accroît les risques de récession pour la première économie européenne, dont le produit intérieur brut s'est déjà contracté au deuxième trimestre. Le PIB a également reculé au cours des deux années précédentes, faisant de l'Allemagne le pays le moins performant de la zone euro.

          En 2025, le gouvernement prévoit une croissance de seulement 0,2 % et la ministre de l'Économie, Katherina Reiche, a déclaré qu'une part importante de la croissance de 1,3 % prévue l'an prochain serait due aux mesures de relance budgétaire. Lors de la présentation des perspectives, elle a indiqué que les tâches restantes comprenaient l'accélération des procédures de planification et d'approbation, la réduction des coûts de l'énergie et la promotion de l'investissement privé.

          « Les indicateurs actuels laissent présager une nouvelle faiblesse de l'activité au troisième trimestre, compte tenu de la faiblesse persistante de la demande extérieure et de la faiblesse persistante de la dynamique économique intérieure », a indiqué le ministère mardi dans son rapport mensuel. « Les exportations de biens, notamment vers les États-Unis, ont récemment diminué. »

          Préoccupé par la réputation de l'Allemagne en tant que puissance industrielle et par la probabilité de nouvelles suppressions d'emplois, le gouvernement a annoncé la semaine dernière de nouvelles incitations à l'achat de véhicules à zéro émission d'une valeur de 3 milliards d'euros (3,5 milliards de dollars) jusqu'en 2029 et a décidé de prolonger l'exonération fiscale pour les nouveaux véhicules électriques jusqu'en 2035.

          Source : Bloomberg Europe

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          Prévisions fondamentales d'IC ​​Markets Europe | 14 octobre 2025

          Marchés IC

          Marchandise

          Forex

          Économique

          Que s'est-il passé lors de la session asiatique ?

          Cette séance asiatique a été dominée par un sentiment d'aversion au risque, en raison de l'escalade des tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine et de nouvelles menaces politiques. Ces facteurs ont entraîné une forte baisse des actions asiatiques et des gains sur les matières premières, tandis que les valeurs refuges traditionnelles (yen, franc suisse et or) ont attiré des flux. Les actifs australiens et chinois ont subi un impact direct sur les devises et les indices, donnant le ton aux échanges mondiaux avant les publications macroéconomiques et les résultats financiers cruciaux.

          Qu'est-ce que cela signifie pour les sessions Europe-USA ?

          Les principales publications de données d'aujourd'hui sont favorables à la fois à la GBP et à l'EUR, les données sur les salaires et le chômage au Royaume-Uni dressant un tableau stable à légèrement optimiste, et le sentiment allemand s'améliorant. Les marchés américains sont sensibles aux discours des banques centrales et aux tensions commerciales persistantes, car les récentes reprises dans les secteurs de la technologie et des matériaux indiquent un optimisme du marché après une volatilité antérieure. La hausse des nouveaux prêts de la Chine pourrait refléter l'appétit pour le risque mondial, stimulant les matières premières et les devises liées à l'Asie. Le thème général est un optimisme prudent : l'inflation persistante et les tensions commerciales mondiales agissent comme des vents contraires, mais des chiffres de salaires plus solides, un sentiment positif et une croissance des nouveaux prêts pourraient soutenir une tendance à la prise de risque progressive à mesure que les séances commencent.

          L'indice du dollar (DXY)

          Le dollar entre dans la journée de mardi avec une incertitude accrue, l'anticipation du discours de Powell et l'attention constante portée à la politique de taux de la Fed. L'évolution de la devise dépendra fortement des propos de Powell et des commentaires ultérieurs de la Fed, les marchés évaluant la persistance des pressions inflationnistes, les signes de ralentissement du marché du travail et la dynamique des taux d'intérêt mondiaux. Billets de la Banque centrale :

          ● Le Comité fédéral de l'open market (FOMC) a voté, à la majorité, pour abaisser la fourchette cible du taux des fonds fédéraux de 25 points de base à 4,00 %-4,25 % lors de sa réunion des 16 et 17 septembre 2025, marquant le premier ajustement du taux directeur depuis décembre 2024 après cinq maintiens consécutifs.
          ● Le Comité a maintenu son objectif à long terme d’atteindre un emploi maximum et une inflation de 2 %, reconnaissant le récent ralentissement du marché du travail et la poursuite des pressions sur les prix induites par les tarifs douaniers.
          ● Les décideurs politiques ont exprimé une vive inquiétude quant aux risques de ralentissement de la croissance, citant un marché du travail stagnant, une création d'emplois modeste et un taux de chômage remontant vers 4,4 %. Dans le même temps, l'inflation reste supérieure à l'objectif, avec un IPC à 3,2 % et une inflation sous-jacente à 3,1 % en août 2025 ; la hausse des prix de l'énergie et de l'alimentation, largement imputable aux droits de douane, continue de peser sur les indicateurs clés.
          ● Bien que l'activité économique ait progressé à un rythme modéré au troisième trimestre, les perspectives de croissance se sont affaiblies. La croissance du PIB au troisième trimestre est estimée à près de 1,0 % (annualisée), avec des prévisions de croissance du PIB pour l'ensemble de l'année 2025 révisées à 1,2 %, reflétant le ralentissement de la consommation des ménages et le durcissement des conditions financières.
          ● Dans le résumé actualisé des projections économiques, le taux de chômage devrait s'établir en moyenne à 4,5 % pour l'année, avec une inflation globale des dépenses de consommation personnelle légèrement révisée à la hausse à 3,1 % pour 2025. Le Comité prévoit que l'inflation de base des dépenses de consommation personnelle restera tenace, ce qui nécessitera une vigilance soutenue et une approche flexible de la gestion des risques.
          Le Comité a réitéré son approche fondée sur les données et sa disponibilité à de nouveaux ajustements si l'emploi ou l'inflation s'écartaient significativement des prévisions actuelles. Plusieurs membres ont exprimé leur désaccord, préconisant soit une baisse plus importante de 50 points de base, soit l'absence d'ajustement lors de cette réunion, révélant ainsi une divergence accrue au sein du Comité.
          ● La réduction du bilan se poursuit à un rythme modéré. Le plafond mensuel de remboursement des bons du Trésor reste fixé à 5 milliards de dollars et celui des MBS d'agences à 35 milliards de dollars, le Conseil d'administration visant à soutenir le bon fonctionnement des marchés face à l'évolution des incertitudes mondiales et nationales.
          ● La prochaine réunion est prévue du 28 au 29 octobre 2025.

          Biais haussier moyen des prochaines 24 heures

          Or (XAU)

          Le cours de l'or a atteint de nouveaux records, dépassant les 4 100 dollars l'once, le lundi 13 octobre 2025, marquant une nouvelle étape historique pour le métal précieux dans un contexte d'incertitude géopolitique et économique intense. Cette nouvelle hausse a été largement alimentée par le regain de tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine, la demande de valeurs refuges, les anticipations persistantes de baisse des taux de la Réserve fédérale et l'inquiétude des investisseurs alimentée par la paralysie continue des administrations publiques américaines.

          Biais fortement haussier pour les prochaines 24 heures

          L'euro (EUR)

          L'euro se caractérise par une légère amélioration des indicateurs de confiance, mais la prudence reste de mise en raison de signaux macroéconomiques mitigés et des incertitudes extérieures persistantes. Le sentiment des investisseurs de la zone euro, mesuré par l'indice ZEW, a également enregistré une légère hausse (17,6 contre 17,2 le mois dernier), témoignant d'une certaine stabilisation des anticipations malgré les difficultés du secteur et les risques d'inflation persistants.

          ● Le Conseil des gouverneurs a maintenu inchangés les trois principaux taux d'intérêt de la BCE lors de sa réunion du 11 septembre 2025. Le taux de refinancement principal reste à 2,15 %, la facilité de prêt marginal à 2,40 % et la facilité de dépôt à 2,00 %. Ces niveaux ont été maintenus après les baisses intervenues plus tôt en 2025, ce qui témoigne de la confiance du Conseil dans la cohérence de la politique monétaire actuelle avec le mandat de stabilité des prix.
          ● Les données montrant que l'inflation se rapproche de l'objectif à moyen terme de 2 % de la BCE ont conforté la décision de maintenir les taux inchangés. Les pressions sur les prix intérieurs s'atténuent, la croissance des salaires continuant de ralentir et les conditions de financement restant accommodantes. Les responsables politiques ont réaffirmé une approche dépendante des données, réunion par réunion, pour les nouvelles mesures de politique monétaire, sans engagement préalable sur une trajectoire prédéterminée dans un contexte de risques mondiaux et nationaux persistants.
          ● Les projections des services de l'Eurosystème prévoient une inflation globale moyenne de 2,0 % en 2025, 1,8 % en 2026 et 2,0 % en 2027. Les prévisions pour 2025 et 2026 reflètent une révision à la baisse, principalement en raison de la baisse des coûts de l'énergie et des effets de change, même si l'inflation alimentaire reste persistante. L'inflation sous-jacente (hors énergie et alimentation) devrait s'établir à 2,0 % en 2026 et 2027, avec seulement des changements mineurs depuis les cycles précédents.
          ● La croissance du PIB réel dans la zone euro est projetée à 1,1 % pour 2025, 1,1 % pour 2026 et 1,4 % pour 2027. Un premier trimestre robuste, en partie dû à l'accélération des exportations des entreprises avant les hausses de tarifs douaniers anticipées, a atténué des perspectives plus faibles pour le reste de l'année 2025. Alors que les investissements des entreprises continuent de faire face à l'incertitude liée aux conflits commerciaux mondiaux en cours, en particulier avec les États-Unis, les investissements publics et les dépenses d'infrastructure devraient soutenir ces perspectives.
          ● La hausse des revenus réels et la vigueur continue du marché du travail stimulent les dépenses des ménages. Malgré l'atténuation des effets positifs des précédentes baisses de taux, les conditions de financement restent globalement favorables et devraient soutenir la résilience de la consommation privée et de l'investissement face aux chocs extérieurs. La modération de la croissance des salaires et les ajustements des marges bénéficiaires contribuent à absorber les pressions résiduelles sur les coûts.
          ● La hausse des revenus réels et la vigueur continue du marché du travail stimulent les dépenses des ménages. Malgré l'atténuation des effets positifs des précédentes baisses de taux, les conditions de financement restent globalement favorables et devraient soutenir la résilience de la consommation privée et de l'investissement face aux chocs extérieurs. La modération de la croissance des salaires et les ajustements des marges bénéficiaires contribuent à absorber les pressions résiduelles sur les coûts.
          ● Toutes les décisions futures en matière de taux d’intérêt continueront d’être guidées par l’évaluation intégrée des données économiques et financières, des perspectives d’inflation et de la dynamique sous-jacente de l’inflation, ainsi que par l’efficacité de la transmission de la politique monétaire, sans aucun engagement préalable sur une trajectoire de taux future spécifique.
          ● Les portefeuilles du Programme d'achat d'actifs (APP) et du Programme d'achat d'urgence pandémique (PEPP) de la BCE diminuent de manière prévisible, les échéances ayant cessé d'être réinvesties. La normalisation des bilans se poursuit conformément au calendrier précédemment communiqué par la BCE.
          ● La prochaine réunion aura lieu du 29 au 30 octobre 2025

          Biais faiblement haussier des prochaines 24 heures

          Le franc suisse (CHF)

          Le franc suisse connaît une légère dépréciation face au dollar américain dans un contexte d'apaisement des tensions géopolitiques, d'incertitude commerciale persistante et d'une politique tarifaire américaine historique affectant les industries suisses. Les flux de capitaux refuges restent importants, mais la BNS s'est montrée peu encline à intervenir, soutenant les taux actuels et permettant au franc suisse de se valoriser grâce à la dynamique du marché. Les perspectives restent stables, avec une appréciation progressive attendue et des facteurs externes (comme les droits de douane américains et les commentaires de la BNS) constituant les principaux moteurs de la volatilité. Billets de la banque centrale :

          ● La BNS a maintenu son taux directeur à 0 % lors de sa réunion du 25 septembre 2025, mettant en pause une séquence de six baisses de taux consécutives alors que l'inflation se stabilisait et que le franc suisse restait ferme.
          ● Les données récentes ont montré un modeste rebond de l’inflation, les prix à la consommation suisses ayant augmenté de 0,2 % sur un an en août après être restés au-dessus de zéro pendant trois mois consécutifs ; cela a contribué à apaiser les craintes de déflation qui s’accumulaient plus tôt dans l’année.
          ● Les prévisions d'inflation conditionnelle restent globalement inchangées par rapport à juin : l'inflation globale devrait atteindre en moyenne 0,2 % en 2025, 0,5 % en 2026 et 0,7 % en 2027. Le risque d'un mouvement de taux négatif a diminué pour l'instant, mais la BNS conserve une certaine flexibilité si les pressions inflationnistes s'affaiblissaient à nouveau.
          ● Les perspectives économiques mondiales se sont encore détériorées, plombées par des tensions commerciales accrues, notamment avec les États-Unis, et par l’incertitude persistante sur les principaux marchés d’exportation suisses.
          ● La croissance du PIB suisse a ralenti au deuxième trimestre après un premier trimestre vigoureux, stimulé par les exportations américaines en début de période. La BNS prévoit un ralentissement et une stagnation de la croissance, avec une prévision de croissance du PIB comprise entre 1 % et 1,5 % en 2025 et 2026.
          ● Le sentiment du marché du travail dans le secteur industriel suisse s'est adouci en raison des inquiétudes concernant la compétitivité des exportations et des ajustements potentiels de la production, mais les perspectives de croissance globale restent globalement inchangées
          ● La BNS a réitéré sa volonté de réagir si nécessaire si les risques de déflation réapparaissent, soulignant son engagement en faveur de la stabilité des prix à moyen terme et d'une politique de communication solide et transparente, avec l'introduction de procès-verbaux de politique monétaire plus détaillés à partir d'octobre.
          ● La prochaine réunion aura lieu le 11 décembre 2025.

          Biais faiblement baissier des prochaines 24 heures

          La livre sterling (GBP) Principaux événements d'actualité aujourd'hui

          Indice des revenus moyens sur 3 mois (6h00 GMT) Variation du nombre de demandeurs d'emploi (6h00 GMT) Discours du gouverneur de la Banque d'Angleterre, Bailey (17h00 GMT) Que peut-on attendre de la livre sterling aujourd'hui ? Aujourd'hui, la livre sterling est confrontée à des difficultés liées au rebond du dollar américain et aux inquiétudes du marché quant à la viabilité budgétaire de l'économie britannique. Avec une croissance des salaires stable et des demandes d'allocations chômage en baisse, l'attention se portera immédiatement sur les commentaires de la Banque d'Angleterre et sur l'impact plus large des futures politiques fiscales sur la croissance et l'inflation. Il est conseillé aux traders de surveiller la volatilité autour des discours de la Banque d'Angleterre et des publications de données américaines plus tard dans la journée. Billets de la Banque centrale :

          ● Le Comité de politique monétaire (MPC) de la Banque d'Angleterre a voté le 18 septembre 2025 à la majorité (répartition attendue : 7-2 ou 6-3) pour maintenir le taux directeur à 4,00 %, suite à la baisse d'août. La plupart des membres ont évoqué une inflation persistante et des indicateurs mitigés de croissance et d'emploi, tandis qu'une minorité s'est prononcée en faveur d'un nouvel assouplissement en raison du ralentissement du marché du travail et de la faible croissance du PIB.
          ● Le Comité a décidé de ralentir le rythme du resserrement quantitatif, prévoyant de réduire le stock d'achats d'obligations d'État britanniques de 67,5 milliards de livres sterling au cours des 12 prochains mois, au lieu des 100 milliards de livres sterling précédemment. Le solde des obligations d'État s'élève désormais à près de 558 milliards de livres sterling. Cette décision reflète la volatilité accrue des marchés obligataires et une transition vers une approche plus progressive.
          ● L'inflation globale a augmenté de manière inattendue à 3,8 % en juillet et devrait atteindre 4 % en septembre, soit au-dessus de l'objectif de 2 % de la Banque. Les pressions sur les prix sont alimentées par les coûts réglementés de l'énergie et la hausse continue des prix des denrées alimentaires. Si la désinflation antérieure a été substantielle, l'inflation sous-jacente reste élevée et persistante.
          Le Comité de politique monétaire (CPM) prévoit que l'inflation globale restera supérieure à l'objectif jusqu'au quatrième trimestre, avec une reprise de la tendance à la baisse prévue pour début 2026, la pression sur les prix de l'énergie et les prix réglementés s'atténuant. Le Comité reste attentif aux signes d'inflation persistante malgré les précédents resserrements monétaires.
          ● La croissance du PIB britannique stagne, l'activité des entreprises et des consommateurs étant modérée. Les données récentes du marché du travail montrent une hausse du taux de chômage (actuellement à 4,7 %) et une stabilisation de la croissance des salaires (proches de 5 %), signe d'une faible pression salariale, mais persistante. Le Comité reste prudent face à une demande atone et à un sentiment d'incertitude dans les enquêtes.
          ● Les indicateurs de croissance des salaires et d'emploi ont continué de ralentir, tandis que les enquêtes auprès des entreprises confirment un ralentissement des accords salariaux. Le Comité prévoit un ralentissement significatif de la croissance des salaires au quatrième trimestre et jusqu'à la fin de 2025.
          ● L'incertitude mondiale persiste en raison de la volatilité des prix de l'énergie, des perturbations des chaînes d'approvisionnement liées aux conflits au Moyen-Orient et du regain de tensions commerciales. Le Comité de politique monétaire (CPM) reste vigilant quant à la transmission des chocs externes sur les coûts et les salaires à l'inflation britannique.
          ● Les risques d'inflation sont considérés comme bilatéraux. Si la croissance intérieure modérée et le ralentissement de l'activité économique laissent entrevoir une marge d'assouplissement, la persistance de l'inflation appelle à la prudence. Le Comité de politique monétaire anticipe une baisse lente et progressive des taux, poursuivant son approche fondée sur les données, avec des ajustements prudents en fonction de l'évolution économique.
          ● Le Comité privilégie toujours une politique monétaire restrictive jusqu'à ce que des preuves plus solides apparaissent que l'inflation reviendra durablement à l'objectif de 2 %. Toutes les décisions futures resteront fortement tributaires des données économiques, l'accent étant mis sur l'évolution de la demande, les anticipations d'inflation, les coûts et la situation du marché du travail.
          ● La prochaine réunion aura lieu le 6 novembre 2025.
          Biais des prochaines 24 heures
          Faiblement baissier

          Le dollar canadien (CAD)

          Le dollar canadien reste sous pression, juste en dessous de 1,40 pour un dollar américain. Il rebondit grâce à une forte croissance de l'emploi, mais est freiné par la baisse des prix du pétrole. Le marché affiche un optimisme prudent quant à ses perspectives à l'approche du quatrième trimestre. Les gains du dollar canadien ont été limités par la chute des prix du pétrole et la volatilité des marchés mondiaux, et le taux de change USD/CAD a récemment atteint un sommet de six mois au-dessus de 1,40. La plupart des analystes anticipent une poursuite de la consolidation du dollar canadien, avec la possibilité de tester la résistance à 1,4085 avant une baisse significative.

          Billets de la Banque centrale :

          ● Le Conseil a cité la volatilité persistante des tarifs douaniers américains et la lenteur des négociations commerciales comme principaux facteurs contribuant à l'incertitude persistante. Bien que les tarifs douaniers n'aient pas augmenté davantage, l'imprévisibilité de la politique américaine demeure un risque important pour les exportations canadiennes et la confiance des entreprises.
          ● L'incertitude entourant la politique commerciale américaine et les menaces récurrentes de droits de douane ont continué de peser sur les perspectives de croissance. La Banque a signalé des risques de baisse pour le secteur des exportations, les données d'enquête indiquant une hésitation persistante des fabricants et des exportateurs.
          ● Après une croissance modeste au premier trimestre, l'économie canadienne est entrée en contraction, le PIB ayant reculé de 0,8 % au deuxième trimestre et devant encore diminuer de 0,8 % au troisième trimestre. La faiblesse économique a été particulièrement marquée dans les secteurs manufacturier et de production de biens, touchés par les tensions commerciales et le ralentissement de la demande américaine.
          ● Les premières estimations montrent que la croissance s'est stabilisée en septembre, mais est restée bien inférieure aux 2 % prévus par la Banque pour le quatrième trimestre. La production manufacturière s'est légèrement améliorée, soutenue par un modeste rebond de l'activité pétrolière et minière, tandis que les dépenses de consommation et les ventes au détail sont restées globalement stables.
          ● Les dépenses de consommation sont restées modérées, les ménages continuant de limiter leurs achats discrétionnaires dans un contexte d'incertitude et de ralentissement du marché du travail. L'activité immobilière est restée faible, malgré les efforts déployés par le gouvernement pour améliorer l'accessibilité financière et les gains modestes réalisés dans certains segments de l'immobilier.
          ● L'inflation globale (IPC) a légèrement progressé à 1,9 % en août, en deçà des attentes des économistes, mais témoigne toujours de pressions émergentes liées aux coûts du logement et des biens importés. Les indicateurs d'inflation sous-jacente sont mitigés, même si la croissance des prix reste légèrement inférieure à l'objectif de 2 % de la Banque.
          ● Le Conseil des gouverneurs a réaffirmé sa prudence, soulignant que si de nouvelles baisses de taux sont possibles, leur rythme dépendra de l'évolution des droits de douane américains, de la dynamique de l'inflation intérieure et des signes d'une reprise durable. La Banque reste vigilante face au risque d'une inflation inférieure à l'objectif en raison du ralentissement économique.
          ● La prochaine réunion aura lieu le 29 octobre 2025.

          Biais baissier moyen des prochaines 24 heures

          Huile

          Les prix du pétrole ont affiché mardi une légère hausse d'environ 0,3 %, les tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine montrant des signes d'apaisement, le WTI s'échangeant autour de 59,67 dollars le baril et le Brent à 63,50 dollars le baril. Cependant, les prix sont restés en baisse significative au cours du mois et de l'année écoulés, sous l'effet conjugué de plusieurs facteurs baissiers : la disparition des primes de risque géopolitiques au Moyen-Orient suite au cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, une offre excédentaire croissante, l'OPEP+ ayant ajouté 630 000 b/j en septembre, la constitution de stocks mondiaux estimés à 2,6 millions de b/j en moyenne au quatrième trimestre 2025, une production américaine record dépassant les 13,6 millions de b/j, et un affaiblissement de la demande chinoise, dont la croissance de la consommation de pétrole a fortement ralenti.

          Biais faiblement baissier des prochaines 24 heures

          Source : IC Markets

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          Le marché de l'emploi britannique montre des signes d'atténuation avant le budget

          Glendon

          Économique

          Forex

          Le marché du travail britannique a montré de nouveaux signes de stabilisation dans de nouvelles données publiées mardi, les employeurs semblant avoir surmonté le pire des bouleversements déclenchés par l'augmentation de 26 milliards de livres sterling (34,7 milliards de dollars) des impôts sur les salaires intervenue en avril.

          Le nombre de salariés a diminué de 10 000 en septembre, après une hausse révisée de 10 000 le mois précédent, selon l'Office for National Statistics. Cette baisse est conforme aux prévisions des économistes pour l'automne et moins marquée que les réductions observées cet été.

          Parallèlement, la croissance des salaires dans le secteur privé a ralenti à 4,4 % au cours des trois mois précédant août, soit le plus bas niveau depuis fin 2021 et inférieur aux attentes. Ce chiffre est toutefois bien supérieur aux 3 % environ que la Banque d'Angleterre estime compatibles avec son objectif d'inflation de 2 %. Le nombre d'offres d'emploi n'a diminué que de 9 000 au cours des trois mois précédant septembre.

          Ces chiffres sont susceptibles d'alimenter le débat au sein de la banque centrale sur la question de savoir si l'inflation, qui a presque doublé l'objectif de 2 %, pourrait déclencher une boucle de rétroaction en alimentant les revendications salariales qui conduiraient ensuite à de nouvelles augmentations de prix.

          La responsable politique Megan Greene a souligné le risque d'effets de second tour dans un discours prononcé lundi, et les marchés excluent quasiment toute nouvelle baisse des taux cette année. Cependant, d'autres estiment que le processus de désinflation reste intact, laissant potentiellement le gouverneur Andrew Bailey comme électeur décisif au sein du Comité de politique monétaire.

          Bailey, qui a su faire preuve d'un bel équilibre dans ses récents commentaires, doit s'exprimer à Washington plus tard mardi, l'une des nombreuses apparitions des responsables politiques de la BOE cette semaine.

          Les suppressions d'emplois consécutives aux hausses d'impôts et du salaire minimum en avril ont ralenti ces derniers mois, et les pertes ont été moins importantes que prévu initialement. Ce chiffre concorde avec une enquête clé de Recruitment Employment Confederation et de KPMG, qui a constaté une stabilisation du marché du travail en septembre selon plusieurs indicateurs.

          Les économistes et les responsables accordent désormais plus d'attention aux sondages du secteur privé et aux données sur les salaires, qui sont basées sur les dossiers fiscaux, après qu'un effondrement des taux de réponse à l'enquête sur la population active de l'ONS a soulevé des questions sur la fiabilité des relevés officiels.

          Source : Bloomberg Europe

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          La Chine riposte aux États-Unis sur le transport maritime avec des restrictions et une enquête de Hanwha

          Samantha Luan

          Forex

          Politique

          Guerre commerciale sino-américaine

          Économique

          La Chine riposte aux États-Unis sur le transport maritime avec les restrictions imposées par Hanwha, Probe_1

          Le chantier naval Hanwha Philly à Philadelphie, Pennsylvanie.

          La Chine a menacé de nouvelles mesures de rétorsion contre les restrictions américaines imposées à son secteur maritime, après avoir sanctionné des entités américaines d'un géant sud-coréen du transport maritime. Le ministère du Commerce a annoncé mardi l'imposition de restrictions à cinq entités américaines de Hanwha Ocean Co., l'un des plus grands constructeurs navals sud-coréens. L'action de la société a chuté jusqu'à 8 % à Séoul, sa plus forte baisse en environ deux mois. Ces mesures constituent une escalade marquée dans un conflit de longue date entre les deux plus grandes économies mondiales concernant la domination maritime. Elles font suite à l'escalade des tensions entre les États-Unis et la Chine ces dernières semaines, le président Donald Trump ayant menacé d'imposer des droits de douane supplémentaires de 100 % sur les importations en provenance de ce pays asiatique en réponse aux nouveaux contrôles chinois à l'exportation.

          Cette semaine, des taxes de rétorsion sur les navires américains arrivant en Chine sont entrées en vigueur, une mesure de représailles de l'administration Xi, suscitant l'inquiétude dans le secteur maritime mondial. Les nouvelles restrictions imposées par Pékin interdisent à toute personne physique ou morale de faire affaire avec les cinq entreprises. Parallèlement, le ministère des Transports a déclaré qu'il menait une enquête sur les conséquences de l'enquête menée par le représentant américain au Commerce en vertu de l'article 301 sur le secteur maritime chinois et qu'il pourrait mettre en œuvre des mesures de rétorsion en temps voulu.

          Ce conflit a des conséquences sur l'économie mondiale, car les navires participent à 80 % du commerce mondial. Washington a annoncé en avril son intention de freiner les prouesses de la Chine en matière de construction navale, tout en cherchant à renforcer les capacités américaines. Cela a contraint les chantiers navals chinois à perdre des parts de marché, tandis que les compagnies maritimes chinoises s'exposaient à de lourdes sanctions pour escale dans les ports américains. Parallèlement, les constructeurs navals sud-coréens ont offert des avantages à Washington pour aider les États-Unis à relancer leur secteur naval. Hanwha Ocean a été le premier chantier naval coréen à acquérir un chantier naval américain et cherche à transférer une partie de ce savoir-faire aux États-Unis.

          Les cinq entreprises freinées par la Chine sont Hanwha Shipping LLC, Hanwha Philly Shipyard Inc., Hanwha Ocean USA International LLC, Hanwha Shipping Holdings LLC et HS USA Holdings Corp.

          Les porte-paroles de Hanwha Ocean à Séoul et de Hanwha USA n'ont pas

          Source : Yahoo Finance

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          Le cornu confronté au Parlement pour des raisons budgétaires

          James Whitman

          Politique

          Le Premier ministre français Sébastien Lecornu s'adressera mardi au Parlement pour la première fois en tant que Premier ministre, un moment décisif pour son jeune gouvernement dans ses efforts pour adopter un budget et apporter une certaine stabilité politique.

          Le Premier ministre de 39 ans, reconduit dans ses fonctions vendredi, quatre jours seulement après sa démission en raison de conflits politiques, prononcera le discours politique très surveillé à l'Assemblée nationale à 15 heures, heure de Paris, après avoir présenté un projet de budget au cabinet dans la matinée.

          L'extrême droite et l'extrême gauche de Marine Le Pen ont juré de tenter de renverser Lecornu par des motions de censure plus tard cette semaine, quoi qu'il dise. Sa survie au poste de Premier ministre dépend donc des concessions qu'il fera mardi pour convaincre de nombreux autres partis de s'abstenir.

          Si Lecornu échoue, il deviendrait le troisième Premier ministre contraint à la démission en moins d'un an, laissant au président Emmanuel Macron peu d'autres options que la convocation de nouvelles élections législatives. Le scrutin anticipé de l'année dernière et l'incertitude budgétaire et politique qui en a résulté ont déjà déclenché des ventes d'actifs français, ce qui a fait grimper le coût de l'emprunt du pays par rapport à ses pairs.

          « Notre seule mission est de nous élever au-dessus et de dépasser cette crise politique dans laquelle nous nous trouvons, une crise qui a laissé une partie de nos concitoyens médusés, et peut-être aussi une partie du monde qui nous regarde », a déclaré M. Lecornu aux nouveaux ministres réunis lundi.

          Alors que son mandat de Premier ministre ne tient qu'à un fil, la pression s'exerce sur Lecornu pour qu'il cède aux demandes de déconstruire huit années de politique économique de Macron, tout en essayant de réduire le déficit et de rassurer les investisseurs.

          Les socialistes, qui jouent un rôle central dans les votes de défiance de cette semaine, réclament un nouvel impôt sur la fortune et des prélèvements plus élevés sur les entreprises, des coupes budgétaires moins importantes et une suspension de la loi de 2023 signée par le président, qui augmente progressivement l'âge minimum de la retraite de 62 à 64 ans.

          La réforme des retraites a cristallisé le débat ces derniers jours et jusqu'à présent, le groupe de centre-gauche a rejeté la proposition de Macron, faite vendredi dernier, de retarder plutôt que de suspendre l'application des mesures.

          « S'il maintient sa proposition, nous n'entrerons pas dans le débat budgétaire et nous le censurerons immédiatement », a déclaré le chef du Parti socialiste, Olivier Faure, dans un entretien à La Tribune Dimanche. « Il est temps de choisir. »

          Mais pour Lecornu, capituler mettrait à l'épreuve le soutien de ce qui reste du parti centriste Renaissance de Macron au Parlement, ainsi que des députés de centre-droit qui se sont déclarés opposés à l'abrogation des réformes du système de retraite. Bien que peu probable, s'ils devaient voter pour une motion de censure, Lecornu chuterait même en cas d'abstention des socialistes.

          « C'est douloureux car c'est une réforme à laquelle les élus de Renaissance et moi-même nous sommes totalement engagés », a déclaré lundi la ministre de l'Égalité, Aurore Bergé, sur la radio RMC.

          Lecornu doit également faire des compromis sur les demandes de réduction des restrictions budgétaires, après que les socialistes aient été parmi les groupes qui ont voté en septembre pour renverser l'ancien Premier ministre François Bayrou sur son projet de réduire le déficit à 4,6 % du produit intérieur brut en 2026, contre 5,4 % prévus cette année.

          Cependant, Lecornu a réduit son contrôle sur les plans budgétaires depuis qu'il s'est engagé à ne pas recourir à l'article 49.3, un outil constitutionnel permettant d'adopter des projets de loi sans vote au Parlement. Il a néanmoins affirmé que l'objectif ne devait pas être inférieur à 5 % si la France voulait rester crédible sur les marchés.

          Source : Bloomberg

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